23 novembre 2011
les beaux gosses
Demon Dave
DON PEDRO
BALOO
TCHOUTCH
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19 novembre 2011
Répet
Nous avons répeté hier, au compteur: bièresssss, sangria et whisky une fois, n'est pas coutume. Mais nous avons quand même réussi à mettre au point, notre petite surprise pour les mec et les meufs du LHC, ça va chier.
I avuns répétai arsér,au cuntour: bére, sungrilla é whiski , ine foes ol ét pa goudume. Mé i avuns quant maeme abenai à amenai ao poén, noutre riquéte sourprise ps lés bachalàes é les draulléres dau LHC, o va chiàe
I en avun toujhour à vendre, jhapéz nesàutres
10 novembre 2011
T_shirt
nous avons toujours T-shirt et cd's à vendre
T-shirt 13€, frais de port compris
Cd 12€,de port compris
T-shirt+ Cd, 23€ frais de port compris
MERCI D' AVANCE POUR LE SUPPORT, n'oubliez pas que c'est la seule façon qu'on les petits groupe pour continuer à survivre, et oui même pour nous les temps sont durs
10 novembre 2011
on joue à la capitale
venez nour voir à Paris, parce que ça n'arrivera pas souvent, nous préferons jouer à la campagne
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1 novembre 2011
chronique par "Nawak Posse"
CRAWLING IN SLUDGE - Tarzé a Crvéa:
Du sludge de Poit-Poit, voila qui est intéressant, le dialecte de la préfecture de la Vienne y étant employé.
Passé le premier morceau qui fait guise d'intro ambiante, on nous assène quelques bons coups histoire de se secouer dès les premiers instants de " 3 min ". Tiens, c'est marrant, j'ai l'impression de comprendre le poitevin rien qu'à la lecture de ce titre. Celui-ci continuera à nous diffuser une certaine puissance, associée à une ambiance plus rentrée en elle. Une atmosphère que l'on retrouve sur " Supjhe cojhé " tandis que la force y est moindre.
Mais pour contenter les violents, " Le pllat " et " L’oume den la tue-vers ", heureusement j'ai fait un copié-collé pour l'écrire, embarquent tout sur leur passage. On peut tout de même noter ce côté ambiant typique du groupe sur la fin du premier de ces deux morceaux.
Le groupe calme le jeu avec " La mariéne " d'une légèreté assez inattendue, mais bienvenue après ces ébauches de force. Le son remonte petit à petit, d'abord par un bon gros " Prdéque mégraesir ", lui même dévasté par " Lés tolls " qui se conclue en donnant tout mais d'une manière très fine, amenant par-là une certaine originalité. " Chés buns mouments " est un morceau assez costaud, sans non plus rechercher la force à tout prix. Et pour terminer sur une note donnant bien le ton à deux faces de l'album, c'est en finesse que cela se fait.
C'est du bon sludge, on ne va pas s'en priver et avec en plus l'originalité de langage, ça permet à CRAWLING IN SLUDGEde se placer et d'intéresser sans se renier.
)(Chronique réalisée par
1 novembre 2011
chronique par "Spellbound webzine"
|
1 novembre 2011
chronique par "French métal"
1 novembre 2011
chronique par "Le chant du grillon"
Chronique par Olivier
La première démo du groupe en 2009 intitulée Grease In Life m'avait permis de faire connaissance avec Crawling in Sludge, groupe poitevin de ... sludge. Aujourd'hui ils sont de retour avec un premier album nommé Tarzé a Crvéa via le label POGO Records. Mais Tarzé a Crvéa, Quétou qu'ol'est ?
Le groupe a décidé de jouer la carte locale en utilisant des vocaux chantés en poitevin (le titre de l'album Tarzé a Crvéa peut se traduire par Va mourir !) et une illustration de pochette qui reprend le blason du Poitou (en optant pour une palette allant du gris au noir). Et pour la musique ? Bah couillon ! C'est du sludge ! "Enferàie" est une introduction instrumentale qui débute avec des samples de pluie d'où s'extirpe quelques sons de cloche. La guitare acoustique prend le morceau à son compte pour se faire rapidement balayer par la lourdeur de la rythmique et la guitare grasse qui prennent le relai. Le mid-tempo made in CiS est lancé et ne nous quittera que rarement tout au long des 9 titres qui composent cette galette. "3 min" entre en scène et les vocaux de Baloo varient entre bourrus accrocheurs, quelques arrachages de gorges et mélodiques (surtout sur les refrains). La section rythmique composée de DDave à la basse et T.Sam à la batterie offre une assise en béton, support parfait pour que la guitare de Tchootch vienne planter ses accords écrasants. "Supjhe cojhé" est encore plus lent qu'une cagouille en plein sprint avec un mid-tempo lourd où les vocaux résonnent comme autant de plaintes.
"Le pllat", malgré plus de 6 minutes, rentre directement dans le tas à grands coups de riffs groovy pour un tempo qui varie entre élevé et pesant. "L'oume den la tue-vers" est dans la même veine que les deux premiers titres en misant tout sur une lourdeur intense avant qu'une accélération ne lance un solo fort bien exécuté. Le groupe nous offre un moment d'accalmie avec "La mariéne", titre acoustique qui permet de faire une petite pause avant d'attaquer les 3 derniers titres. "Prdéque mégraesir" et "Lés tolls" viennent encore nous pigougner avec de très bonness variations de rythme. Et l'écoute se termine avec un bon brûlot comme on les aime. "Chés buns mouments" nous acache la tête et donne le virounâ à force de changements de tempos. Quoiqu'il en soit le groupe n'est pas là pour tartasser, ça beugne comme il se doit et on se fait crocheter dans les règles. La boucle est bouclée avec la réapparition des samples de pluie et de cloches que l'on trouvait sur l'introduction.
Sans révolutionner en rien le genre Crawling in Sludge s'en sort une fois de plus avec plus que les honneurs.
Le groupe a décidé de jouer la carte locale en utilisant des vocaux chantés en poitevin (le titre de l'album Tarzé a Crvéa peut se traduire par Va mourir !) et une illustration de pochette qui reprend le blason du Poitou (en optant pour une palette allant du gris au noir). Et pour la musique ? Bah couillon ! C'est du sludge ! "Enferàie" est une introduction instrumentale qui débute avec des samples de pluie d'où s'extirpe quelques sons de cloche. La guitare acoustique prend le morceau à son compte pour se faire rapidement balayer par la lourdeur de la rythmique et la guitare grasse qui prennent le relai. Le mid-tempo made in CiS est lancé et ne nous quittera que rarement tout au long des 9 titres qui composent cette galette. "3 min" entre en scène et les vocaux de Baloo varient entre bourrus accrocheurs, quelques arrachages de gorges et mélodiques (surtout sur les refrains). La section rythmique composée de DDave à la basse et T.Sam à la batterie offre une assise en béton, support parfait pour que la guitare de Tchootch vienne planter ses accords écrasants. "Supjhe cojhé" est encore plus lent qu'une cagouille en plein sprint avec un mid-tempo lourd où les vocaux résonnent comme autant de plaintes.
"Le pllat", malgré plus de 6 minutes, rentre directement dans le tas à grands coups de riffs groovy pour un tempo qui varie entre élevé et pesant. "L'oume den la tue-vers" est dans la même veine que les deux premiers titres en misant tout sur une lourdeur intense avant qu'une accélération ne lance un solo fort bien exécuté. Le groupe nous offre un moment d'accalmie avec "La mariéne", titre acoustique qui permet de faire une petite pause avant d'attaquer les 3 derniers titres. "Prdéque mégraesir" et "Lés tolls" viennent encore nous pigougner avec de très bonness variations de rythme. Et l'écoute se termine avec un bon brûlot comme on les aime. "Chés buns mouments" nous acache la tête et donne le virounâ à force de changements de tempos. Quoiqu'il en soit le groupe n'est pas là pour tartasser, ça beugne comme il se doit et on se fait crocheter dans les règles. La boucle est bouclée avec la réapparition des samples de pluie et de cloches que l'on trouvait sur l'introduction.
Sans révolutionner en rien le genre Crawling in Sludge s'en sort une fois de plus avec plus que les honneurs.
1 novembre 2011
chronique par "Le chant du grillon"
Chronique par Olivier
Composé à base d'anciens membres d'Inside Conflict (Baloo au micro, DDave à la basse et Dodey à la batterie) et de Tchootch, guitariste de Dynasty's Bastard (groupe où l'on retrouve aussi Baloo au micro), Crawling in Sludge débarque avec une première démo qui risque fort de faire parler d'eux. Alors qu'attendre d'un groupe qui repose sur deux formations de brutal hardcore? Et bien non, ici pas question de hardcore (... quoique ...), l'intérêt d'un nouveau projet étant pour ses protagonistes de découvrir de nouveaux horizons, Crawling in Sludge a donc décidé de nous balancer un metal stoner lourd et massif. Alors êtes-vous prêt pour du Sludge from Poitier ?.
Le coup de graisse
Première démo pour eux avec Grease in Life composée de 5 titres, celle-ci a pour but de démarcher les labels et les promoteurs concerts. Et normalement, si ceux-ci ne sont pas sourds, le groupe a un destin tout tracé. Dès le premier titre "Eaten Man" on sent que les atmosphères sont très travaillées via des changements de tempo qui passe d'un plan stoner rapide à un passage ultra lourd et oppressant. Malgré tout, le groove est présent et les compositions sont forgées dans l'acier. On sent les influences Crowbar / Down et le groupe prend son temps pour nous imposer des ambiances pesantes qui contrastes avec les passages furieux. "Song for a Plate" présente une basse qui claque et une excellente alternance de vitesse d'exécution, le tout avec des vocaux sourds à la limite du death par moment. Baloo tient le micro et ne comptait pas sur lui pour vous fredonner Il en faut peu pour être heureux (oui, je sais c'est facile!). Non, ici l'ours est mal léché et est très en colère. Leur sludge est vraiment corrosif et c'est tout naturellement que leurs racines hardcore refont surface. Les occasions de bouger la tête sont nombreuses et on se laisse malmener par une section rythmique agressive et des riffs autant précis que lourds. On double le plaisir avec "Endless Moment", 8 minutes d'agression sonore mêlée à un sentiment d'écrasement permanent. Au bout d'une minute le tempo s'accélère brutalement, celui-ci vous projette dans les cordes pour ensuite vous maintenir la tête coincée proche de l'étouffement. Alors que vous êtes prêt de l'évanouissement le tempo réaccélère et on repart pour un tour. Ces variations ont lieu pendant tout le titre, enfin pendant les 3/4 car au bout de 5 minutes 30 on doit assister à notre propre enterrement, le tempo s'est encore ralenti et ne bougera plus jusqu'à la fin. Avec un titre comme celui là, autant le dire, la messe est dite et on aimerait que ce moment sans fin se prolonge encore! Les deux derniers morceaux ne seront qu'une formalité, avec moins de 4 minutes au compteur, on se retrouve avec beaucoup d'énergie et encore des alternances passages lourds, break mid-tempo et accélérations brutales. Le dernier titre est plus direct et fait l'effet d'un coup de boule rotatif. Ca martèle de tous les diables, c'est du carré de chez carré et les riffs aiguisés auront raison de vous.
On dirait qu'ça t'gêne de marcher dans la boue…
… Et bien maintenant tu vas ramper car Crawling in Sludge maitrise sur le bout des doigts son style et on sent que le groupe a acquéri beaucoup d'expériences via son background musical. Aucune faute de gout et en 5 titres le groupe met tout le monde d'accord. Donc retenez bien ce nom car on va en entendre parler! Excellent!
A noter que l'on retrouve le groupe sur la nouvelle compilation French Metal "A tombeau ouvert" qui doit être disponible courant mai en VPC (via le webzine ou sur les sites des groupes participants).
Le coup de graisse
Première démo pour eux avec Grease in Life composée de 5 titres, celle-ci a pour but de démarcher les labels et les promoteurs concerts. Et normalement, si ceux-ci ne sont pas sourds, le groupe a un destin tout tracé. Dès le premier titre "Eaten Man" on sent que les atmosphères sont très travaillées via des changements de tempo qui passe d'un plan stoner rapide à un passage ultra lourd et oppressant. Malgré tout, le groove est présent et les compositions sont forgées dans l'acier. On sent les influences Crowbar / Down et le groupe prend son temps pour nous imposer des ambiances pesantes qui contrastes avec les passages furieux. "Song for a Plate" présente une basse qui claque et une excellente alternance de vitesse d'exécution, le tout avec des vocaux sourds à la limite du death par moment. Baloo tient le micro et ne comptait pas sur lui pour vous fredonner Il en faut peu pour être heureux (oui, je sais c'est facile!). Non, ici l'ours est mal léché et est très en colère. Leur sludge est vraiment corrosif et c'est tout naturellement que leurs racines hardcore refont surface. Les occasions de bouger la tête sont nombreuses et on se laisse malmener par une section rythmique agressive et des riffs autant précis que lourds. On double le plaisir avec "Endless Moment", 8 minutes d'agression sonore mêlée à un sentiment d'écrasement permanent. Au bout d'une minute le tempo s'accélère brutalement, celui-ci vous projette dans les cordes pour ensuite vous maintenir la tête coincée proche de l'étouffement. Alors que vous êtes prêt de l'évanouissement le tempo réaccélère et on repart pour un tour. Ces variations ont lieu pendant tout le titre, enfin pendant les 3/4 car au bout de 5 minutes 30 on doit assister à notre propre enterrement, le tempo s'est encore ralenti et ne bougera plus jusqu'à la fin. Avec un titre comme celui là, autant le dire, la messe est dite et on aimerait que ce moment sans fin se prolonge encore! Les deux derniers morceaux ne seront qu'une formalité, avec moins de 4 minutes au compteur, on se retrouve avec beaucoup d'énergie et encore des alternances passages lourds, break mid-tempo et accélérations brutales. Le dernier titre est plus direct et fait l'effet d'un coup de boule rotatif. Ca martèle de tous les diables, c'est du carré de chez carré et les riffs aiguisés auront raison de vous.
On dirait qu'ça t'gêne de marcher dans la boue…
… Et bien maintenant tu vas ramper car Crawling in Sludge maitrise sur le bout des doigts son style et on sent que le groupe a acquéri beaucoup d'expériences via son background musical. Aucune faute de gout et en 5 titres le groupe met tout le monde d'accord. Donc retenez bien ce nom car on va en entendre parler! Excellent!
A noter que l'on retrouve le groupe sur la nouvelle compilation French Metal "A tombeau ouvert" qui doit être disponible courant mai en VPC (via le webzine ou sur les sites des groupes participants).
31 octobre 2011
Morceaux choisis de tournées
Baloo: le Phoenix réagit toujours dans les braises
Pad d'entraiment pour batteur:
DonPedro: "faudrait offrir ça à T-Sam pour noël"
Ddave:"pourquoi faire? Il va s'en servir comme dessous de plat
Ddave:"je pense que le jambon, ils l'ont coupé au laser dans l'eau....... pour éviter les étincelles......."
En parlant des prénoms que les parents donnent à leurs enfants:
DDave:"Robinson Crusoé avait bien un ami qui s'appelait Vendredi."
Ritch:"Oui mais à la fin de sa vie il était Alzaheimer, il l'appellait l'autre jour"
Oullalalala
Ddave:"c'est quoi ce groupe?"
DonPedro:"c'est ................
Ddave:"c'est eux qui s'entrainaient dans les loges tout à l'heure?"
DonPedro:"Oui"
Ddave:" bah c'est comme l'équipe de France de football, ça sert à rien!!"
Le soir avant de ce coucher, dernières reflexions sur la vie:
DDave:"La pompe, elle va pas faire de la Bière.Je pense que tu as un problème de gaz Jésus."
Yonni(bassiste de offending):" En Mayenne, dans un bar, y'a combien de personnes?"
DonPedro:"y'a des gens, quand ils ont pas bu, ils se tirent vers le haut, nous quand on a bu on se tirent vers le bas"
Ddave:"j'taime bien, mais si tu continue, je vais te mettre ta tête dans ton cul"(à un mec bourré commençant à être bien lourd)
Le matin:
T-Sam:"Ce matin, mission boulangerie"
Tchootch:" c'était pas hier soir déjà?"
Ddave:"On dit pas la Girolle, on dit la Gironde"
Ddave(à T-Sam qui parle d'une meuf bourrée de la veille) Ha parceque tu crois que tu es sain toi?"
Ddave:"Un string en bombons? 50€ le machin, faut pas qu'elle mouille trop, sinon ça fait du caramel, et en plus c'est des coups à choper le diabète"
Baloo:"Un tic-tac goût anus"
Ddave:"Oui, un ticus"
DonPedro:"Une meuf qui met ses nichons en valeur parce qu'ils sont beaux, et qui s'habille comme un sac en bas, c'est qu'elle a un gros cul"
-Il est où le carnet rouge?
-dans le sac à bonbons.
baloo:"J'ai à moitié les couilles séparées en deux:
Baloo:"Comment on appelle les vaches en Mayenne? La mayonnaise?
Ritch:"Ils sont pas de Rennes, ils sont Plûtot Bretons"
Tchoutch:" ça sent le poney"
DonPedro(voulant imiter le poney):béhééhééhééé
Ddave(on joue dans un café-concert qui s'appel -chez Phillipe-) Heu, il s'appel comment le patron?"
Tchoutch:"Huuuummm, un bon couscous......"
Ritch:"avec des patates et une sauce aux champignons"
T-Sam:"j'ai envie de baiser......"
DonPedro:"j'ai envie de gigot....."
Baloo:"j'ai envie de baiser un gigot...."
Ddave:"Angers, tu rajoute un M, ça fait manger"
Baloo:"faut que j'aille lever mes asperges"
DonPedro:"faudrait qu'on ouvre un bar sur Poitiers à côté du "plan B"...... on l'appellera le "plan Q"
Baloo:"Il l'a égorgé au ventre"
DonPedro:"donc il l'a éventré"
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